• méandres
    • 2025
    • Rencontre avec Coline Jourdan, artiste en résidence

    • Rencontre
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/acb_2025_jourdan2.png
    • 25.05.25 → 25.05.25
      Rencontre
      méandres
    • Dans le cadre de sa résidence dans les monts d’Arrée et en écho à l’exposition orage tirant vers le rouge, méandres vous propose une rencontre avec Coline Jourdan.

      Elle présentera l’avancement de ses recherches réalisées en résidence — les dimensions d’expérimentations et le processus de travail.

      Cette rencontre permettra de partager avec les habitants un regard sensible sur leur territoire, mais aussi le travail “d’approche”, la manière dont l’artiste porte son regard et la manière dont le territoire vient influer son projet.

      Présence d’un éventuel invité — chercheur, habitant, jardinier, historien… pour mettre en dialogue des registres et des niveaux de savoirs divers.

       

       

      « Mon travail articule les questions de la perception et de la représentation du toxique à celle de sa relation avec la matière, l’espace et l’image. […] Si la toxicité ne se voit généralement pas, si le danger qu’elle représente est souvent l’objet d’un déni, l’art peut alors se présenter comme un moyen de la représenter, de la rendre sensible, d’y sensibiliser.

      Engagée pour la défense de l’environnement, je prends toutefois soin d’aborder la question sans tomber dans certains lieux communs de l’écologie. J’entretiens en effet une relation ambiguë à mon sujet, placée entre inquiétude face aux mutations de l’environnement dues à l’anthropocène et fascination pour les transformations d’ordre plastique que la chimie opère. […]

      Mon projet photographique comporte une part d’expérimentation formelle. Je me livre ainsi à différentes manipulations qui troublent la surface de la photographie afin de créer des espaces d’expériences visuelles. Ce qui est représenté y est altéré, le mimétisme et le réalisme photographiques sont à la fois concrètement endommagés et théoriquement remis en question. Mon choix de me confronter au toxique, plutôt que de l’éviter ou de le critiquer de l’extérieur, se concrétise également par un travail de terrain.

      Me rendant sur des lieux contaminés, j’en retravaille ensuite les images pour modifier la perception que l’on peut en avoir. […] Réactivant les codes de l’imagerie romantique comme ceux du réalisme documentaire, j’en subvertis enfin les effets propres dans un corps-à-corps poétique, qui interroge une vision biaisée, manipulée et altérée du monde et de la nature. »

      extrait d’un texte de Coline Jourdan, co-écrit avec Florian Gaité

    • La Pompe
    • 2025
    • Maël Lannou, Récits Festifs.

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/affiche-Maël-Lannou-final.png
    • 30.04.25 → 30.04.25
      Exposition
      La Pompe
    • Noir Brillant
    • 2025
    • Diego Véliz – Sound Desert

    • Installation
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Diego-Véliz-2__Ph_-Pamela-Quintanilla-scaled.jpg
    • 25.04.25 → 27.04.25
      Installation
      Noir Brillant
    • APM-Résidences d’artistes
    • 2025
    • Dialogue entre Valérie Sonnier, artiste et Henri Guette, critique d’art

    • Conférence
    • 22.04.25 → 22.04.25
      Conférence
      APM-Résidences d’artistes
    • Certaines personnes prétendent qu’à Saint-Jacut errent des fantômes et Valérie Sonnier est de celles-là. Dans son œuvre, les lieux sont toujours habités et des souvenirs d’enfance en Bretagne aux échos des Beaux-Arts de Paris, en passant par quelques autres maisons hantées il erre toujours quelques spectres. En abordant son travail de la photographie et du film tout comme les derniers dessins qu’elle a réalisés aux APM-Résidences d’artistes, il s’agira d’établir une hantologie, de revenir sur son parcours et de débusquer les images rémanentes et ce qu’il y a de présent au travers des couches d’encre et des tremblements de pellicule.
      Texte Henri Guette
       
    • 40mcube
    • 2025
    • Connecting the dots

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/connecting-the-points_post-instagram_web.jpg
    • 18.04.25 → 26.04.25
      Exposition
      40mcube
    • Louise Belin, Elisa Florimond, Salomé Ingelbrecht, Andréa Le Guellec

      Just as synapses send chemical signals to each other, the flow of our ideas escapes our control and reaches out to those of other people. How many of our words have slipped into their consciousness after an encounter? It was these discreet, insidious links that nourished the artists of GENERATOR 11 during the seven months of a new cohabitation. Sometimes synchronized, their practices unknowingly ingested scattered bits of their environment, digested them and passed them on once more. New connections emerged, between elements they discovered they had in common. Connecting the Dots shows a moment of these interactions, a view of our growing intimacy.

    • Les 3 CHA
    • 2025
    • Nick Steur, Equilibria

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/0-Nick-Steur-FREEZE-photo-by-Nick-Steur-copy-Copie-scaled.jpg
    • 07.04.25 → 25.05.25
      Exposition
      Les 3 CHA
    • Nick Steur is a Dutch performer and visual artist who works with raw materials such as stone, sand, steel, and water. Through his artistic exploration, he invites the audience to focus on the present moment while highlighting the fundamental mechanisms that govern our world.

      At the art center, his impressive stone-balancing performance gives rise to a unique installation—an immersive journey within the chapel, where fragility, robustness, and balance intertwine to create a one-of-a-kind experience.

    • Les 3 CHA
    • 2025
    • Nick Steur, A l’œuvre

    • Performance
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Performance-Nick-Steur-scaled.jpg
    • 04.04.25 → 06.04.25
      Performance
      Les 3 CHA
    • The finalization of Nick Steur’s Equilibria installation opens to the public, offering a glimpse into the creative process. Take this opportunity to watch the artist patiently seek the perfect balance for each stone before they settle into their final positions.

    • Galerie Maxime Lancien
    • 2025
    • Rika Tanaka, Lou-Maria Le Brusq, Sea Song

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Capture-décran-2025-04-04-à-14.13.16.jpg
    • 03.04.25 → 24.05.25
      Exposition
      Galerie Maxime Lancien
    • Cette exposition réunit Rika Tanaka et Lou-Maria Le Brusq, dont les œuvres tissent un dialogue tout en nuances. Dessins et peintures composent une partition où le geste et la couleur s’accordent avec justesse.

      En 2023, j’avais présenté le travail de Rika Tanaka au Carré de la Douane à Saint-Quay-Portrieux. Aujourd’hui, j’ai souhaité prolonger ce regard en l’associant à celui de Lou-Maria Le Brusq, artiste et éditrice de la revue Librarioli. Ensemble, elles instaurent une résonance singulière : un espace suspendu, où la ligne devient vibration et la couleur, souffle.

      Le titre de l’exposition, Sea Song, emprunte son nom à une ballade de Robert Wyatt, où la voix semble se fondre dans l’onde et l’horizon. Une résonance naturelle avec ces œuvres qui nous invitent à une immersion sensible.

    • PloumExpo
    • 2025
    • Stéphanie Pommeret, Se nourrir des liens du vivant

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/patin-à-rouler.jpg
      Des patins à rouler dans lesquels poussent des plants de tomates
    • 29.03.25 → 17.05.25
      Exposition
      PloumExpo
    • Bien qu’issu d’une démarche poétique, le travail de Stéphanie Pommeret se construit autour de questions sociales déterminantes dans le choix des techniques et matériaux employés. En découle une interaction qui pousse l’artiste à sans cesse renouveler les expérimentations. à des gestes techniques simples, elle associe des matériaux à la portée de toutes et tous, souvent détournés de leur usage quotidien et c’est dans cet écart que surgit l’artistique.

    • Frac Bretagne
    • 2025
    • « Il n’y a pas de fumée sans feu »

    • Exposition
    • 26.03.25 → 18.05.25
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Basel Abbas et Ruanne Abou-Rham, Marie José Burki, Louis Frehring, Mehryl Levisse, Nathalie Magnan, Marianne Maric, Antoni Muntadas, Nora Turato

    • APM-Résidences d’artistes
    • 2025
    • L’imaginaire et son double, une exposition de Clémence Bruno et Vincent Girard

    • Exposition
    • 21.03.25 → 30.03.25
      Exposition
      APM-Résidences d’artistes
    • Une exposition de peintures des artistes venus travailler et vivre à Saint-Jacut-de-la-Mer de janvier à mars 2025. Les œuvres présentées dans l’exposition ont été produites pendant la résidence.

      L’exposition explore les frontières entre le visible et l’invisible. Une rencontre entre deux visions distinctes mais complémentaires de l’imaginaire : l’une qui sanctifie le quotidien et l’autre qui nous plonge dans l’invisible.

      Clémence Bruno est diplômée de l’école des beaux-arts de Marseille en 2024, où elle vit et travaille. Durant sa résidence, elle s’intéresse à la figure de Marie-Madeleine et ses interprétations multiples (pécheresse repentie, amie proche du Christ) et comme figure mystique et symbolique dans l’histoire religieuse et artistique. Elle réinterprète son image en interrogeant la figure du double. Ses peintures revisitent les sujets de l’histoire de l’art et les traitent avec décalage et humour. Clémence développe une série de peintures durant sa résidence, où elle choisit de « faire pleurer les garçons ». En lien avec Marie-Madeleine et comme un pied de nez à l’histoire de l’art, elle montre la vulnérabilité masculine. Sa peinture figurative renvoie aux codes historiques de la représentation augmentée d’une dimension personnelle et contemporaine.

      Vincent Girard est diplômé de l’école des beaux-arts de Caen en 2021, il vit et travaille à Rennes. La peinture de Vincent Girard est imprégnée de ses recherches historiques et de son appréhension des paysages de Saint-Jacut-de-la-Mer et des alentours. Le mystère qui se dégage de ses peintures, accentué par les lumières étranges, les apparitions et l’atmosphère, renvoie à l’univers du fantastique. Il puise aussi son inspiration dans le folklore, un terreau riche en mythes et légendes, mais aussi dans les peintures de paysages des peintres bretons. Ses peintures sont un pont entre le passé, les lieux mythiques et l’imaginaire collectif.

      Février 2025

    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2025
    • Trois-quarts d’oeuvres Lorène Rouleau, Souvenir d’une vague

    • Rencontre
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Lorene-Rouleau-Trois-quarts-doeuvres-intro.jpg
    • 21.03.25 → 21.03.25
      Rencontre
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à 12h30 à découvrir une sélection d’oeuvres de la collection de l’artothèque en lien avec l’exposition “Souvenir d’une vague”.

       

      >Gratuit, ouvert à tous

    • Superflux, voir l’art se faire
    • 2025
    • Résidences de printemps

    • Résidence
    • 19.03.25 → 25.05.25
      Résidence
      Superflux, voir l’art se faire
    • Gwenn Mérel, Rika Tanaka

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2025
    • Anaïs Touchot, L’Académie de la croûte

    • Projection
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/LACADÉMIE-DE-LA-CROÛTE-2024-©-photographie-_-Margaux-Germain.jpg
    • 06.03.25 → 06.03.25
      Projection
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Anaïs Touchot

      PROJECTION-RENCONTRE de L’Académie de la croûte et LANCEMENT du catalogue Croûtes à succès, le 6 mars 2025, à 18h au Tambour, campus Villejean, université Rennes 2.

      Avec Baptiste Brun, Anne Dary, Hilary Galbreaith, Isabelle Henrion et animé par Émeline Jaret

       

      À l’université Rennes 2, la galerie art & essai et Anaïs Touchot vous invitent à une soirée de projection-rencontre autour de L’Académie de la croûte et de sa réactivation ! Le 6 mars 2025, l’événement sera accompagné du lancement du catalogue  Croûtes à succès, réalisé par Anaïs Touchot en collaboration avec Camille Depalle. Édité par la galerie art & essai, ce catalogue et l’ensemble du projet permettent à l’artiste de poursuivre son exploration des nouvelles des nouvelles frontières artistiques et sociales, guidée par la volonté de rafraîchir la définition de ce que signifie « être artiste ».

       

      Anaïs Touchot est née en 1987 à Dinan, elle vit et travaille à Brest. Dans sa pratique, elle déplie des espaces temporaires où elle se plaît à fusionner des services et des codes a priori éloignés. Sa Psyzzeria (2020), soirée thérapie et pizza, son salon de peinture sur ongle de toiles du XXe siècle appelé Travailleur de beauté (2019), ou encore le stand de rue où les passant·es se font tirer un portrait tant physique que psychique (2022), sont autant de prétextes pour initier un dialogue et se jouer des fonctions attendues de l’art et des artistes. Par un système de réemploi, de copie, et de bricolages, Anaïs Touchot compose un langage spontané qui détourne les slogans publicitaires et parodie le marketing du bien-être.

      Entrée libre sur réservation :

      https://www.eventbrite.com/e/soiree-de-projection-rencontre-anais-touchot-lacademie-de-la-croute-tickets-1248303753129

       

    • Frac Bretagne et Binic-Étables sur Mer
    • 2025
    • MONTS ET MERVEILLES

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Quentin-Montagne_Les-Merveilles-de-la-nature_2019_Fonds-departemental-dart-contemporain-dIlle-et-Vilaine_TousDroitsReserves_petitformat.jpg
    • 01.03.25 → 20.04.25
      Exposition
      Frac Bretagne et Binic-Étables sur Mer
    • Artistes : Dove ALLOUCHE, Aurore BAGARRY, Dominique BELLOIR, Delphine BERTRAND, Lynne COHEN, Christine CROZAT, Anne DELEPORTE, Gabriele DI MATTEO, Gilles EHRMANN, Nicolas FLOC'H, Makiko FURUICHI, Renée LEVI, Vincent MALASSIS, Elena MAZZI, Quentin MONTAGNE / Livres d’artistes : Jean-Jacques DUMONT, George DUPIN, Hannah HÖCH, Manon LANJOUÈRE, Hughes REIP, Clément VUILLIER

      A selection of works from the Frac Bretagne and Fonds départemental d’art contemporain d’Ille-et-Vilaine collections

      Combining the themes of Dehors! (the commune’s cultural program) and marine animals (the subject of work at the La Vigie municipal school), the exhibition of works from the collections of Frac Bretagne and the Fonds départemental d’art contemporain d’Ille-et-Vilaine offers a combination of fascinating artistic proposals.

      Admirable and astonishing things, people from the abyss or creatures from daydreams, space inside or outside, silences and sound effects, all ingredients come together to build a fabulous world.

      Inspired by picture books or scientific research, or created from scratch by an overflowing imagination, the artists’ proposals invite us to plunge into a fantastic universe that tilts us into a parallel world.

      To rebuild the world, consolidate life or re-enchant it, the works propose alternatives, towards a lost paradise, rediscovered!

    • Espace Lucien-Prigent
    • 2025
    • Cédric WITTEBOLLE et Roger JONCOURT

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/AFFICHE-250x500_expos-printemps-2025_OK-scaled-e1739797165785.jpg
    • 01.03.25 → 20.04.25
      Exposition
      Espace Lucien-Prigent
    • Cédric Wittebolle, Roger Joncourt

      Pour Cédric WITTEBOLLE, lauréat 2024 du Grand Prix de sculpture, le bois raconte une histoire, riche des essences, des couleurs, des contrastes, mais aussi des fibres, des fragilités, des blessures du temps.

      « Je délimite, je fracture, j’incise, je carbonise, je peins…
      Je plonge dans l’écriture organique du bois que j’hybride, avec douceur ou violence, à mon imagination. Je dialogue avec les courbes, les volumes, les aspérités et les couleurs, pour régénérer un être, un paysage, une pensée… un état d’âme. »

       

      À l’étage, nous vous invitons à (re)découvrir la vie et le travail du sculpteur Roger JONCOURT (1932-2023). Depuis des années, ses œuvres prennent une place particulière dans la vie des Landivisiens : le cheval évidemment, mais aussi la statue de Xavier Grall ou la fontaine, près de la bibliothèque. Roger Joncourt a été le cofondateur du Salon de Sculpture. Avec la complicité de son fils Loïc, nous avons souhaité lui rendre hommage. Sculptures, croquis, articles de presse, anecdotes, reconstitutions apportent un nouveau regard sur son parcours. Exposition réalisée par l’Agence Violaine Pierret, Morlaix.

    • PloumExpo
    • 2025
    • François Ravard, Ravard jette l’encre à Ploumagoar

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Ravard.jpg
      Dessin d'un paysage au bord de mer avec une enfant et une femme
    • 01.03.25 → 15.03.25
      Exposition
      PloumExpo
    • François Ravard est auteur, illustrateur et aquarelliste. Il collabore avec de nombreuses maisons d’édition comme Flammarion, Gallimard, Casterman, Fluide Glacial et Futuropolis et magazines. Il a publié une quarantaine de bandes dessinées et d’albums jeunesse. Son plus récent, “Sur le chemin de Reinette” est paru en 2024. François Ravard vit à Dinard depuis 2012. Ses recueils de dessins poétiques “Pas un jour sans soleil” (2018) et “Vague d’amour” (2021) publiés aux éditions Glénat, témoignent de son amour pour le littoral de la région.

    • L’aparté, lieu d’art contemporain
    • 2025
    • Jérémy Le Corvaisier, TREMELIN LAKE MONSTER ATTACK

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/TREMELIN-LAKE-MONSTER-8-scaled.jpg
    • 28.02.25 → 02.05.25
      Exposition
      L’aparté, lieu d’art contemporain
    • Les légendes de créatures lacustres fascinent depuis des siècles. Du Loch Ness écossais au lac Storsjön suédois, en passant par le lac de Seneca aux Etats-Unis, ces mythes ont traversé les âges. Mais saviez-vous que la Bretagne, et plus particulièrement le lac de Trémelin, pourrait bien cacher son propre secret ?

      À travers une série de dessins au graphite, fusain et crayons couleurs, Jérémy Le Corvaisier invite à s’immerger dans les profondeurs mystérieuses du lac de Trémelin. En s’inspirant de légendes ancestrales et de faits scientifiques, l’artiste imagine des créatures fantastiques qui hanteraient ces eaux calmes.

      Silures gigantesques, créatures hybrides, poissons mignons, toutes les pistes sont ouvertes.

      Mais au-delà de la simple rêverie, cette exposition soulève des questions intrigantes : Excalibur, plantée au bord du lac, serait-elle une arme de défense contre une menace invisible ? Qui se cache sous l’apparence de la dame du lac ? Un silure ? Arthur souffrait-il d’ichthyophobie ?

      Réalité ou légende, cette exposition offre un nouveau regard sur le lac.

      Oserez-vous y plonger cet été ?

    • Passerelle Centre d’art contemporain
    • 2025
    • Cloudy Waters: Caribbean Refractions

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/IMG_9043-copie-scaled.jpg
    • 28.02.25 → 17.05.25
      Exposition
      Passerelle Centre d’art contemporain
    • Louisa Marajo, Jérémie Paul, Yoan Sorin - Curator: Arden Sherman

      In 1902 the volcano Mount Pelee erupted on the island of Martinique, solidifying its place as the worst volcanic disaster of the 20th century. The eruption killed nearly thirty thousand people and completely destroyed the port town of Saint Pierre. Four decades later, across the Atlantic Ocean, U.S. troops aggressively liberated the German-occupied city of Brest in one of the fiercest battles of World War II. The aftermath was a devastated, rubble-strewn landscape and thousands of casualties. Though the specifics of the two events differ, the outcome was the same: two vibrant cities, full of life, were razed and silenced. The photographic documentation of these calamities left behind emotionally charged and hauntingly captivating images of destruction: hallowed structures, dusty streets framed by bright skies and visible horizons. Beautiful pictures, catastrophic subject matter.

      We live in a distinctively divided time, one marked by stark contrasts that coexist inside a universal setting. The dichotomies of red vs. blue, right vs. left, beautiful vs. ugly, disaster vs. triumph, are amplified by media, politics, and visual culture. A compelling image of disaster is often an equally alluring photograph, prompting reflection on the tension between these opposing forces. While there is a human impulse to somehow understand or “convert” the Other, the philosophy of Martinican writer and thinker Édouard Glissant offers an alternative. Glissant emphasizes the power of Opacity, suggesting that peaceful coexistence is a more powerful tool than attempts to transform the Other. As he writes, “Only by understanding that it is impossible to reduce anyone, no matter who, to a truth he would not have generated on his own.” (Opacity, pg 194).

      The concept of Opacity, which embraces contrast and dualities, offers a key to understanding the work of Louisa Marajo, Jérémie Paul and Yoan Sorin—three artists of French Caribbean descent currently living and working in France. Their stories, much like the volcanic islands of Martinique and Guadeloupe from which they hail—powerful landmasses rising from the shimmering blue of the Caribbean Sea—are anything but straightforward. Paul, Marajo, and Sorin, like cloudy waters that obscure transparency, navigate two overlapping realms: one rooted in the distant colonial histories of their ancestors, and the other shaped by their current lives within the globalized contemporary art world.

      For Louisa Marajo, an ongoing investigation into the biology of Martinique provides a lens through which to view her work. She focuses on the imagery of toxic seagrasses that threaten the island’s coastlines, disrupting both the natural ecosystem and the lives of its inhabitants. Her dynamic installation draws inspiration from the destruction of Brest in 1944 and the continued disintegration of the planet caused by human interference. This reflection on the past offers a poignant, almost prophetic glimpse into the future: if we fail to care for our natural resources, what will remain? Her expansive installation can be interpreted as a wave, a mountain, or simply a force of energy—an evocative gesture to the impacts of climate change and human influence on our fragile Earth.

      Jérémie Paul delves into Creole histories, family stories, and emotions, using them as rich sources of inspiration. His practice explores regenerative themes: interpreting dance, musical tones, seascapes, landscapes, and color. Paul’s approach is layered and additive, with each idea building upon the last. Grounded in an understanding of his personal history — who he is now, where he comes from, and the experiences of his family — Paul creates colorful stories of imagined dreamscapes, emotional punctures, and existential refractions.

      Yoan Sorin works with found objects, repurposing discarded items — often remnants from previous exhibitions — to offer a self-reflective commentary on the art world, particularly the industry of exhibition-making and the role of museums and art institutions today. Drawing on the resourcefulness of the inhabitants of Martinique and Guadeloupe, shaped by the limited geography and ecology of their environment, Sorin’s practice reflects this spirit of adaptation and reuse. For Sorin, the act of gathering and organizing detritus is both a visual and emotional process, with this dual focus serving as the guiding principle for his installations. Ultimately, he creates environments that engage with the material and emotional resonance of waste.

      The works of Marajo, Paul and Sorin come together in conversation, creating a network of ideas that reflects their individual artistic approaches. There is contrast, but here it is acknowledged and embraced. The concept of Opacity opens a door: a pulled-out chair, an invitation for exploration. The result is a space that is neither fully Caribbean, nor fully European, nor entirely independent. Like a beautiful photograph of disaster, the exhibition and its artworks inhabit an interstitial, cloudy space — one where the lack of clarity opens the possibility for hopeful dialogue and contemplation.

    • Passerelle Centre d’art contemporain
    • 2025
    • N’oublie jamais jamais les fleurs

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/IMG_5782-scaled.jpg
    • 28.02.25 → 17.05.25
      Exposition
      Passerelle Centre d’art contemporain
    • Marie Boyer

      As an Artist in Residence, a role created and supported by Passerelle and Documents d’artistes Bretagne, Marie Boyer (1997) is exhibiting a series of new works she has produced at Passerelle. She is a graduate of the Quimper campus of the École européenne supérieure d’art de Bretagne (the European Academy of Art in Brittany) and here has developed an astonishing, joyous garden where painting interplays with botany and with the Japanese manga aesthetic.

      “There are flowers everywhere for anyone who cares to look,” declared Henri Matisse. This cheesy, rather kitsch quotation might be seen on a box of chocolates or on a sign outside a garden centre, yet it leads to much deeper reflections than might first be apparent, on the role of art and the presence of joy in our lives. That sentence uttered by such a famous painter explains much of the art of Marie Boyer. She sees flowers as “living beings intended to be painted”, as a sort of ideal and perfect motif. Her love of flora partly derives from her family, of whom one side originated on the island of Reunion where plants abound in profusion, and partly from one of her grandfathers on the other side who was passionate about floral composition. He would document flowers by photographing them and carefully classifying them in files which the artist has studied closely.

      Marie Boyer is keenly Interested In the history of painting, and is fully aware that flowers are a subject with a particular iconography which have been widely represented by her peers. Understanding the history of art helps her understand her own practice as an artist. She observes the Renaissance painters, is passionate about Jean Siméon Chardin (1699-1779) and Diego Velázquez (1599-1660) while also appreciating more modern and contemporary works from Georgia O’Keeffe (1887-1986) – a lone American painter, indefinable, who fascinates her both for her art and for her life choices – to the duo of Ida Tursic & Wilfried Mille (1974) who plumb the anonymous depths of the Internet. Marie Boyer is interested in what differentiates ‘good painting’ from just daubing paint: is it a matter of technique, positioning or status? She makes herself change style regularly, sometimes between each painting, sometimes after a series; it’s like a need providing sustenance for her work. At Passerelle, she chooses to transpose the flatness of the canvas into space, transforming traditional painting into astonishing sculptures. The rooms of the exhibition become an exuberant garden. The flowers are like characters onto whom the public can project their own desires, hopes and experiences. When Marie Boyer represents bodies, these play a supporting role to the plant motifs. Some of the flowers shown reference fragments from anime of the Japanese manga culture such as Sailor Moon and Cat’s Eyes. Marie Boyer recently explained that “painting is joyous magic that allows you to find infinite ways of representing the world.” This statement is as cheesy yet serious as that of Matisse and reveals the artist’s view that painting is above all a matter of pleasure!

    • Galerie Maxime Lancien
    • 2025
    • Gaëlle Callac, Ilann Vogt, Un livre à soi

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Glaneuses_opt.jpg
    • 15.02.25 → 29.03.25
      Exposition
      Galerie Maxime Lancien
    • Depuis 1997, Gaëlle Callac écrit, dessine, colle et découpe, photographie, filme. Abécédaire, trèfle à quatre feuilles, pages de titres, saynètes. Il y a chez elle une alchimie de la collecte, socle de ses images. Depuis 2014, Ilann Vogt tisse à la main des textes découpés en lamelles pour réaliser des oeuvres uniques inspirées de la nature du texte originel. Si les pages sont lacérées, les mots conservent toujours leur intégrité.

      Six années aujourd’hui que Gaëlle Callac et Ilann Vogt collaborent fréquemment dans une parfaite entente, à la relecture des livres, l’un par le tissage, l’autre par la gravure et les dessins. Leur travail à quatre mains répète sans cesse les textures et les images, crée le chemin du voir, d’un langage accessible un jour ou l’autre à tous les sens.

    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2025
    • Renc’art Lorène Rouleau, Souvenir d’une vague

    • Rencontre
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/456890385_869472571368569_4669705055741752988_-photo-rencartn-intro.jpg
    • 08.02.25 → 08.02.25
      Rencontre
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à une rencontre avec l’artiste Lorène Rouleau pour découvrir l’exposition “Souvenir d’une vague” plus en détail.

       

      >17h, gratuit, ouvert à tous

       

    • APM-Résidences d’artistes
    • 2025
    • Portes ouvertes des ateliers de Clémence Bruno et Vincent Girard

    • Rencontre
    • 08.02.25 → 08.02.25
      Rencontre
      APM-Résidences d’artistes
    • Les ateliers de Clémence Bruno & Vincent Girard seront ouverts le samedi 08 février de 14h30 à 18h.
      Les artistes vous présenteront leurs recherches artistiques ainsi que les œuvres en cours de réalisation.

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2025
    • Euridice Zaituna Kala,  Daylighting : mais  c’est l’eau qui parle

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Dossier-de-presse-Euridice-Z-Kala-final-sans-oeuvres1.jpg
      Photo en négatif d'un arbre vu du dessous et sur lequel on peut distinguer une paire de chaussures (le vert des feuilles est alors violet et le ciel claire est d'un noir profond, le tout nervuré de branches de l'arbre originalement marrons mais ici blanches partants du haut de l'image)
    • 08.02.25 → 27.04.25
      Exposition
      La Criée centre d’art contemporain
    • Euridice Zaituna Kala

      Au travers d’une installation en mouvement qui se déploie dans tout l’espace du centre d’art et qui inclut verres industriels et soufflés, images en transparence, lumières colorées, graines anciennes et récits plurilingues, Euridice Zaituna Kala donne voix à ceux qu’on n’entend pas, peu ou plus : le fleuve en partie enfermé, les espèces endémiques rejetées, les ancêtres oubliés ou dont les récits ont été recouverts par d’autres récits (tels le développement urbain, le pétro-capitalisme ou encore la langue française). Pour construire l’exposition Daylighting, mais c’est l’eau qui parle à La Criée, Euridice Zaituna Kala a parcouru Rennes et entamé un dialogue avec certains des éléments qui composent la ville : son fleuve, ses architectures de verre et de pierre, ses populations et ses plantes oubliées, ses transparences et ses reflets. Il s’agit d’un dialogue fait à la fois d’intériorités et d’extériorités, d’éléments objectifs et subjectifs, de récits et d’images.

    • Frac Bretagne et Saint-Pol-de-Léon
    • 2025
    • COMMENT RACONTER LA MER ?

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/5C59916.jpg
    • 08.02.25 → 30.03.25
      Exposition
      Frac Bretagne et Saint-Pol-de-Léon
    • Gilles Aillaud, Yuna Amand, Isabelle Arthuis, Virginie Barré, Muriel Bordier, Jean Degottex, Marcel Dinahet, Jacques Faujour, Edgar Flauw, Julie Giraud, Michel Gouéry, Elodie Guignard, Jean-Philippe Lemée, Gwenn Mérel, Olivier Mourgue, Eric Tabuchi / Nelly Monnier, Charlotte Vitaioli

      A selection of works from the Frac Bretagne and Fonds départemental d’art contemporain d’Ille-et-Vilaine collections

      Does talking about the sea when you live on the coast produce the same message as when you’re there temporarily on vacation?
      Do vacations by the sea, with my brother, my sister, my mother, have the same flavor as a daily life lived on the coast?
      This is the question raised by the theme of this exhibition, like a challenge to the works.
      Through a multi-faceted selection of sculptures and installations, drawings, paintings, films and photographs, works from the collections of the Frac Bretagne and the Fonds départemental d’art contemporain d’Ille-et-Vilaine, invite us to reflect on how we write the story of our lives.
      From gentle sunsets under Sugar and Cream to introspective moments of meditation on the course of things, from mad surfing sessions to long, leisurely strolls along the “chemin des douaniers”, life by the sea is a mix of unforgettable memories and simple moments of bliss.
      From the top of an observatory or low on the sand, the story is there, accessible to everyone, within reach of experience, ready to emerge from our simplest and wildest feelings.

      Get out your pens and smartphones! Start writing postcards and other text messages, and let your inspiration flow from your visit to this travel exhibition.

    • 40mcube
    • 2025
    • Elle empêche les choses de dormir

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/40mcube_viva_villa_carton_exposition_recto_web.jpg
    • 01.02.25 → 12.04.25
      Exposition
      40mcube
    • Raphaël Barontini, Cindy Coutant, Louise Hervé & Clovis Maillet, Sayako Kishimoto & Mako Idemitsu, Roxanne Maillet, Aya Momose & Mai Endo, Pétrel | Roumagnac (duo), Laura Vazquez

      It’s a political, vital intranquillity that drives me in an attempt to keep the Earth from rotating. In this title, taken from the text Dans le sommeil d’un nouveau-né (In the sleep of a newborn baby) that Laura Vazquez composed for the exhibition, I feel an injunction to act: wake up, don’t close your eyes. There’s no time. No time to let history be written without me, without us. The origin of this exhibition lies in the observation of a missing voice, of absent representations, of the gap and the collective lapse of memory. And it’s the shared desire to see it as a space for fiction with real potential. Here, the stories of minority communities, often erased or invisibilized by dominant narratives, are reinvested through works that breathe new life into silent voices.

      Rewriting, parody and sampling offer a vast field for experimentation and play. These practices of image or gesture production invite us to trick dominant or normative narratives into saying what they don’t say in the first place. By attacking myths in particular, the artists create new worlds on ground that has been ploughed a thousand times over. Or sometimes, they invent entirely new ones. They hybridize dominant figures with marginalized histories to generate counter-spaces for resistance and transformation.

      The motif of loss –as well as of fragment– persists at the very heart. History is fragmented, and memory partial. The exhibition invites us to trace links between past and present, and to embrace forgetfulness with open arms, as catalysts of imaginaries and virtualities. A temporal collision that is essential for releasing new perspectives and creating the tidal wave that will allow us to start all over again.

      This exhibition takes place in two locations, at almost the same time, with the same artists. It sets out a principle of experimentation, reaffirming that the exhibition as form and discourse is a space for testing. It invites the public to mentally rearrange each of the two proposals as they wish, and to consider the variants as potential trajectories.

      By putting marginalized voices back at the center, by giving strength and autonomy to their discourses, particularly through works that propose protocols to be appropriated and reproduced by oneself, the exhibition reminds the public of its power and its potential to act, as a producer of knowledge, memories and representations beyond institutional spaces. It calls for a redefinition of the collective memory to pave the way for futures to be written.

      Karin Schlageter

      The exhibition takes place at 40mcube (Rennes) and at Mécènes du Sud (Montpellier)
      40mcube – 48, avenue Sergent Maginot – 35000 Rennes – Exhibition: February 1st – April 12, 2025
      Mécènes du Sud – 13, rue des Balances – 34000 Montpellier – February 13 – May 10, 2025

      ¡Viva Villa!

      ¡Viva Villa! is the event for French artistic residencies abroad. This innovative program is the result of collaboration between Casa de Velázquez (Madrid, Spain), Villa Albertine (USA), Villa Kujoyama (Kyoto, Japan) and Villa Medici (Rome, Italy).

      Born in 2016 as a festival, ¡Viva Villa! has evolved into a real launching platform for artists, promoting networking and enhancing their post-residency careers. Since 2023, ¡Viva Villa! has supported the production and dissemination of contemporary art through a nationwide program of events. Through this program of support for contemporary artistic production and diffusion, ¡Viva Villa! co-produces cultural events that showcase artists’ careers after their residencies.

      For the 2024-2025 season, ¡Viva Villa! is rolling out across France with 13 events involving over 80 artists who have spent time in one of the four residencies abroad. Alongside this program, each year the Gaîté Lyrique in Paris hosts a major professional event bringing together artists and researchers from the four residencies.

      With the support of the Ministry of Culture, the Ministry of Europe and Foreign Affairs, the Ministry of Higher Education and Research, the Académie des Beaux-Arts, the Région Sud, the Institut français, the Fondation Bettencourt Schueller, the Fondation Roederer and Ardian.

    • Frac Bretagne
    • 2025
    • NICOLA L. CHELSEA GIRL

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/FB-Saison-10-2024-Carton_vert_image-scaled.jpg
    • 31.01.25 → 18.05.25
      Exposition
      Frac Bretagne
    • A French-born performer and designer who passed away in 2018, Nicola L. moved from the Académie Julian to the Ecole des Beaux-Arts in Paris, where she worked in the studio of painter Jean Souverbie. She discovered New York in 1966, on the invitation of the experimental theater La MaMa, and settled there permanently in the late 1970s. Her conceptual work is based on two approaches that open up multiple possibilities: making bodies and making bodies. “Faire corps”, i.e. bringing bodies together in the same skin, to inhabit space together, more organically, from the inside of a second skin. Le Manteau rouge, une même peau pour tout le monde (1969) is a huge stretcherless canvas with 11 empty pockets adapted to the dimensions of 11 human bodies. The coat was designed for a performance to accompany Gilberto Gil and Caetano Veloso at the Isle of Wight pop music festival. Since 2002, the artist has been touring the world with his “art-skins” (Cuba, Paris, Los Angeles, the Great Wall of China, and as far afield as the European Parliament in Brussels), inviting bodies to share in his performances “the odyssey of the flesh”, as Michel Onfray puts it.

      Already part of the Frac Bretagne collection with the work Tapis gris pour cinq personnes, 1975, this wide-ranging exhibition, conceived in partnership and touring with the Camden Art Center in London (UK), the Kunsthalle in Vienna (Austria) and the Museion in Bolzano (Italy), will trace the artist’s fantastic career and combine it with works by other figures from the artistic scenes she has traversed.

      Curated by Géraldine Gourbe

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2025
    • Ben Kinmont, Congratulations

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/7.95.95.10.1.jpg
    • 28.01.25 → 04.04.25
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Des fleurs sont envoyées chaque semaine accompagnées d’une carte sur laquelle est écrit « Félicitations ». Une réactivation de Congratulations (1995) de l’artiste états-unien Ben Kinmont dans le hall d’accueil de la bibliothèque universitaire centrale.

      En 2016, le travail de Ben Kinmont a fait l’objet d’une double exposition à la galerie art & essai (commissariat Master Métiers et arts de l’exposition) et au Cabinet du livre d’artiste de l’université Rennes 2, suivie d’une acquisition de deux archives par le Frac Bretagne (Bed Service, 1994 et Catalytic Texts Box, 2016). En 2025, la galerie art & essai célèbre ses 40 ans d’existence, en revenant sur son premier lieu d’exposition : le hall d’accueil de la bibliothèque universitaire et revisite son histoire à travers ses archives conservées au Frac Bretagne. La réactivation de Congratulations (1995) dans le hall d’accueil de la bibliothèque dont les félicitations sont adressées en premier lieu aux usager·ères et personnels de la bibliothèque mais aussi aux visiteur·ses de la galerie affranchie de ses murs est l’occasion de réactiver ces histoires multiples dans un contexte d’extrême fragilisation économique des biens collectifs et de réinvention nécessaire des rapports interpersonnels.


      Ben Kinmont

      Né en 1963 à Burlington dans le Vermont, Ben Kinmont est un artiste états-unien, éditeur (Antinomian Press) et libraire spécialisé dans les livres anciens sur la gastronomie et l’économie domestique (Ben Kinmont Bookseller). Il vit et travaille à Sébastopol en Californie.


      Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions monographiques et collectives dans des institutions au rayonnement international (Documenta 11, Kassel ; Institute of Contemporary Art, Londres ; Centre Pompidou, Paris ; SFMOMA, San Francisco…), mais invitant le plus souvent les spectateur·ices à en sortir et à porter attention aux marges, par la mise en circulation d’éditions autonomes et d’actions partagées. À la fois dedans et en dehors, sa position singulière dans le champ de l’art contemporain est nourrie par la pensée anarchiste des antinomiens anglais du 17e siècle et la contre-culture californienne des années 1970 dans laquelle il grandit, lui permettant d’interroger les modes de subsistance et d’existence libre et autonome dans une économie capitaliste.

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2025
    • Un cabinet de lectures : la bibliothèque (incomplète) de Philippe Thomas

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Thomas-Philippe_visuel-1-Publicité-publicité-scaled.jpg
    • 28.01.25 → 04.04.25
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Au cœur des décennies 1980–1990, Philippe Thomas choisit d’investir le champ de l’art pour expérimenter une fiction du faire dont l’enjeu est double : réviser le statut et l’identité de l’auteur·e en interrogeant la dimension discursive de l’œuvre d’art. Nourrie de la lecture de textes émanant du champ des sciences humaines et sociales, comme de références artistiques, littéraires ou cinématographiques, la démarche de Philippe Thomas s’appuie sur une pratique de la citation qui envahit tant l’œuvre que ses marges. Dans le Hall Faulkner de la BU Centrale, la galerie art & essai reconstitue la bibliothèque de Philippe Thomas à partir des collections de la bibliothèque universitaire. Organisée autour d’une œuvre emblématique de Philippe Thomas, cette bibliothèque incomplète compose un cabinet de lectures à réactiver pour une histoire de l’art [qui] cherche des personnages

       

      Artiste français né en 1951, Philippe Thomas décède en 1995 des suites du SIDA. En 1977, il choisit le monde de l’art comme terrain de jeu pour produire une œuvre qui organise la disparition de son nom en tant qu’auteur. Après avoir participé à la fondation du collectif Information Fiction Publicité avec Jean-François Brun et Dominique Pasqualini (1983-1985), il imagine le projet du Fictionnalisme, qui jette les bases de son protocole de travail en collaboration. Désormais, chacun de ses projets sera signé par un·e collectionneur·euse qui, par cette transaction financière, accepte d’en assumer la responsabilité auctoriale. Dès 1987, Philippe Thomas met en œuvre ce principe via son agence les ready-made appartiennent à tout le monde®, qui comptera une soixantaine de signataires, avant sa fermeture en 1993-1994.

    • Galerie du Faouëdic
    • 2025
    • Guy Brunet. le cinéma de mon père

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Guy_Brunet_affiche-web.jpg
    • 25.01.25 → 13.04.25
      Exposition
      Galerie du Faouëdic
    • Les 3 CHA
    • 2025
    • Marie-Hélène Richard, Croissance

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/OK-mh-richard-visuel-CROISSANCE.jpg
    • 18.01.25 → 09.03.25
      Exposition
      Les 3 CHA
    • La bonne pioche
    • 2025
    • Fanny Latgé – Et les reines armées sont descendues

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/035_34A-paysagecontraste.jpg
    • 18.01.25 → 09.02.25
      Exposition
      La bonne pioche
    • Exposition de restitution de fin de résidence artistique à La Grange de Fanny Latgé

      Dans leur cocon de papier peint

      Les affections se libèrent

      S’enhardissent et rugissent

      Domestiquées redeviennent fauves

      Et ruissellent sur les pavés détrempés

      Les placards s’entrouvrent

      Les reines s’engouffrent dans les brèches

      Et font tout voler aux éclats

      Fanny Latgé

    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2025
    • Lorène Rouleau, Souvenir d’une vague

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/SOUVENIR-2-1.jpg
    • 17.01.25 → 19.04.25
      Exposition
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • J’ai imaginé cette exposition comme un voyage, une plongée dans une mer fantasmagorique. L’ensemble des pièces crée un paysage maritime s’inspirant d’un réel qui devient fictif par les transformations graphiques que j’y apporte. Ainsi dans des forêts aquatiques se retrouvent des sardines pour boire un coup, tandis qu’au- dessus d’elles, des corps se dessinent au gré de l’eau.

    • Espace d’apparence
    • 2025
    • François Chemin, performance et projection du film Cartographie du territoire entropique – Pays des Abers

    • Performance
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Francois-Chemin_Cartographie-du-territoire-entropique_Documentaire-2_w900web.jpg
      Cartographie du territoire entropique/Pays des Abers, images extraites du film super 8, 2024. Crédit : François Chemin
    • 15.01.25 → 15.01.25
      Performance
      Espace d’apparence
    • En 2024, grâce au dispositif d’Aide à l’accompagnement des jeunes artistes plasticien.ne.s en Bretagne, avec le soutien de la Région Bretagne, Espace d’apparence a épaulé François Chemin dans la poursuite de ce projet sur le territoire spécifique des Abers.

      La Cartographie du territoire entropique s’est ainsi enrichie de la réalisation d’un film tourné sur pellicules super 8 et dont la bande-son est pressée sur vinyle. Les bobines et le vinyle ont passé 10 jours enfouis dans le terrain sableux attenant à la Maison des Abers – Ti an Aberioù avant d’être déterrés.

      Mercredi 15 janvier à 18h, à  l’occasion du vernissage de l’exposition Cartographie du territoire entropique à la galerie Les Abords de l’Université de Bretagne occidentale, l’artiste réalisera une performance lors de laquelle le film super 8 et sa bande son seront exceptionnellement diffusés. Le public pourra ici découvrir le témoignage de l’entropie sur ces supports analogiques dont il résulte des ruines d’images de ruines.

      Cette action sera suivie de la projection du film documentant l’ensemble du projet mené par l’artiste sur le territoire des Abers. Ce dernier sera projeté en boucle durant tout le temps de l’exposition.

      L’exposition “Cartographie du territoire entropique” de François Chemin se tiendra à la galerie Les Abords du 16 janvier au 07 février 2025.

      À PROPOS DU PROJET CARTOGRAPHIE DU TERRITOIRE ENTROPIQUE DE FRANÇOIS CHEMIN

      L’entropie implique que toute énergie et toute matière tend à disparaître par “mort thermique”. Cependant, nos perceptions des environnements reposent sur des principes anthropocentriques, nous poussant à ignorer dans notre pratique quotidienne des territoires cette vérité universelle d’une chute continue “au centre des choses qui tombent” (Albert Camus, Noces à Tipasa, 1938).
      C’est en réponse à ce phénomène que l’artiste rennais François Chemin réalise une cartographie où les territoires se révèlent grâce à des relevés photographiques, sonores et cinématographiques, de manifestations de l’entropie, qu’elle soit matérielle, tels les bunkers ou d’ordre culturel, immatériel, tels les mégalithes.

    • APM-Résidences d’artistes
    • 2025
    • Clémence Bruno et Vincent Girard, artistes en résidence

    • Résidence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/happy-birthday-to-us-scaled.jpeg
    • 13.01.25 → 31.03.25
      Résidence
      APM-Résidences d’artistes
    • PloumExpo
    • 2025
    • Robert Gernot, Exubérance

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Brute-de-decoffrage_ACB.jpg
      Germe de pommes de terre s'élevant sur fond noir
    • 11.01.25 → 15.02.25
      Exposition
      PloumExpo
    • La série de photos baptisée Exubérance, réalisée par l’artiste, porte un regard à part sur la pomme de terre. Au-delà même du tubercule et de sa destination en tant que semence agricole, Robert Gernot la met en scène, littéralement. Posée, suspendue, en plans rapprochés, avec une lumière vive, les patates en germination se transforment en différents bestiaires où d’étranges créatures, tantôt animales, tantôt végétales, viennent habiter notre regard.

      Il y a quelque chose d’inattendu dans ces images, de précieux, dans le détournement même de la nature de la patate quand elle en vient à germer en libérant une incroyable force de vie.

    • GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • 2025
    • Exposition HIP HOP un regard sur son histoire et ses scènes

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ImageYoutube.jpg
      Le balcon du Comoedia avec le fresque de Poséidon au plafond
    • 09.01.25 → 29.03.25
      Exposition
      GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • Fred EBAMI, Tom GELEB, KATRE, LADY K, Mélanie BOURGET, OBEY, RESO, Wassem SAHIMI, TAREK, TKx PHOTOGRAPHY, 13BIS, WEN2, BLADE, BOM.K, Christel JEANNE, Christian LEGIER, DARCO, DIKSA, Emanuel BOVET, FUZZONE, PARTONE, TCHEKO, TKID170, Jamel SHABAZZ, Lisa KAHANE, Martha COOPER, SIDNE, Yoshi OMORI