• Galerie Albert Bourgeois
    • 2023
    • Harmonies, Maia FLORE

    • Exposition
    • 22.06.23 → 17.09.23
      Exposition
      Galerie Albert Bourgeois
    • Maia Flore

      « C’est un univers construit de toute pièce, dans lequel j’utilise la photographie », explique l’auteure et artiste Maia Flore en parlant de sa démarche. « Mais finalement, tout est plutôt conçu comme une peinture, ou comme un collage. C’est un assemblage d’idées. Je collecte des images en photo que j’assemble ensuite pour les faire rentrer dans mon univers, entre imaginaire et réalité. J’aime jouer avec cet aspect. Faire poser la question au public : est-ce que ça s’est vraiment passé ? La scène qu’on a devant nous semble probable, mais d’un côté on sait que ça ne peut pas l’être. C’est une fine ligne entre deux mondes. Un jeu permanent. Il est parfois tragique, amusant, poétique… »

      La Galerie Albert Bourgeois de Fougères Agglomération clôture sa programmation « Sentir le monde » consacrée à la nature dans l’art, par une exposition de Maia Flore, avec la collaboration du Festival Photo La Gacilly, en partenariat avec la ville de Fougères.

    • Galerie Albert Bourgeois
    • 2023
    • Arrêt sur image – Eric Fonteneau

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/E.F.La-foret-Photo-Vincent-Jacques-scaled.jpg
    • 20.01.23 → 12.03.23
      Exposition
      Galerie Albert Bourgeois
    • « Il ne faut jamais trop chercher à savoir pourquoi une image vous arrête plus qu’une autre. Je regarde des livres, je feuillette des magazines et soudain une photographie me fait signe. J’ai immédiatement envie d’en garder la trace. Je dois la recopier. C’est le même plaisir que ressent un lecteur qui recopie un poème qu’il vient de lire et d’aimer. Il y a donc sûrement chez chacun de nous un besoin de reproduction. Moi, j’utilise les moyens du dessin : c’est aisé, rapide et immédiat. Je pose d’abord un papier calque sur l’image choisie et je la recopie soigneusement en sachant que le crayon ne prendra jamais tout du modèle qu’il recouvre. Et c’est peut-être ça la chance : le manque, la lacune!? C’est pourquoi ce petit papier calque porteur d’esquisse, léger comme une feuille, mérite parfois d’être agrandi, poursuivi, travaillé, considéré. […] Ici, à Fougères les sujets choisis seront ceux de la nature et de ses transformations. Mais la figure humaine sera là aussi car elle porte parfois les traces de cette nature qui la fascine. » (Eric Fonteneau)